L'ensemble des rêves. Tu poudroies comme un surplus pris
dans une banlieue miroitante.
J'aurai voulu manger
tranquille mais tu ressasses les remords de tes reflets
fragiles. Bientôt cent ans à t'écouter frémir comme le lait
sur la soupe comme moi sur ta croupe comme l'auto au feu
rouge comme mes mains singulières.
Comment dire à
l’amante le sel qu’on n’a plus ?
Dès les peurs tombées loin
des pleureuses assoiffées.
L'automne entrevu.
Où faudra-t-il augmenter les pharmaciens
?
Elle s'en battait, ondulant aux côtés de la
bicyclette incertaine des passions. L'or et l'argent
grimpent aux horizons. Des imbéciles frôlent les pudeurs de
ces sueurs ressassées. Confitures délabrées infini de
visions au monde asséché. Et la rivière s'assombrit. Vu de
mes envies compressées.
Les châteaux de ton ombre
enveloppent encore mon esprit dans le sable de la déception.
J'aurai une moto turbulente et qui me console.
Les souffles
irréguliers tempêtent dans ce crâne en velours, nous le
fîmes nuit de rage, accouplés aux futurs qui déchantent. Départ
au cou des adolescentes qui chronométraient les hommes
respectueux. Réjouissons-nous d'abord.
Hiver t'as
vu et plage abandonnée.
Les océans mécontents font un procès
au ciel.
Te revoir m'irrite.
Je défrise
un passé adultère. Il faudrait plus de traces aux
feuilles collées.
Laissons voler ces jeunes
chimères.
Ah ! Tu resplendis faiblement.
Une question raisonnable enfuie dans des vases brunes.
Revue
de pagaille dans des émotions approximatives.
Route
blanche et pure pour orphelin adulte.
Regarde
comment jouer encore à chat qui pisse.
Rire
dans la salle, la scène était cocasse, il fallait ce jour-là
tourner la phrase, il fallait ce jour-là réfléchir aux
audacieuses.
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